Théâtre, musique, danse et performances au coeur des Musées des Beaux-Arts : découvrez Ganymed Goes Brussels (11/10 - 12/12)

“une expérience unique à vivre”
- le soir

La metteuse en scène Jacqueline Kornmüller et le producteur Peter Wolf présentent pour la première fois aux Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique une version inédite de leur création « Ganymed ».

Cette performance théâtrale, maintes fois primée, invite des auteurs et compositeurs contemporains à s'inspirer des
grands maîtres de la peinture ancienne pour composer des oeuvres originales. Ces textes et compositions sont ensuite mis en scène devant les oeuvres avec un ensemble d’acteurs, de musiciens, de chanteurs et de danseurs.

L'ensemble produit l'effet d'une performance totale. Après le succès du concept Ganymed au Kunsthistorische Museum de Vienne, une toute nouvelle édition est présentée en Belgique, intitulée : « Ganymed goes Brussels ».

Ganymed Goes Brussels sur La Première

Ganymed Goes Brussels sur Klara (video)

une interprétation actuelle

Zadie Smith, Jean-Philippe Toussaint, Lize Spit et Stefan Hertmans, ont, parmi bien d’autres, choisi une oeuvre de la collection des MRBAB afin de proposer une interprétation actuelle du maître ancien. Les textes et compositions ainsi générés ont été mis en scène avec un ensemble d’artistes renommés. Pour chaque tableau, Jacqueline Kornmüller et Peter Wolf ont développé une saynète unique.

vlaams radio koor & pierre paul rubens

Face à l’Assomption de la Vierge de Rubens, nous entrevoyons le paradis et – avec le concours du Vlaams Radio Koor – les anges et les spectateurs prennent leur envol ! Le morceau de Johanna Doderer repose sur une phrase du philosophe Franz Schuh : Ich befasse mich mit dem Tod weil ich weiß, dass er kommt, ich weiß es, aber ich kann es nicht glauben. « Je m’intéresse à la mort parce que je sais qu’elle vient, je le sais, mais je ne peux pas le croire. »

“Un plan dans une main, un tabouret dans l’autre, on se promène pendant deux heures dans le musée, presque en transe. On erre dans des coins que d’habitude, on ignore. On s’arrête devant des peintures que l’on n’a pas regardées depuis longtemps. Une remise à jour de notre mémoire collective.”
- almut spiegler, die presse (vienne)

Info concert